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Thomas Costa

Comédien - Haut-Rhin, Mulhouse
Comédien
Scénariste
Monteur
Expérimental & Art vidéo
Film Essai
Inclassables
Lyrique

Présentation

J'ai 18 ans. Je fais des études de science politique à L'Université de Haute-Alsace. . J'ai participé en 2016 et 2018 à deux courts métrages réalisés par Antonin Mechler, INTROSPECTION et L'IMPERMANENCE ; sur le premier en tant que scénariste et comédien dans le rôle principal, sur le deuxième en tant que comédien dans le rôle principal.

Je suis un féru de sport, de littérature (j'écris également), et de musique.

Mes expériences

L'IMPERMANENCE (2018) écrit et réalisé par Antonin Mechler. L'histoire d'un jeune homme soldat pendant la 1ère Guerre Mondiale (sortit en salle au Florival de Guebwiller le 11 nov. 2018, fut récompensé au festival d'Epinal par le Prix de la Meilleure Jeune Réalisation).

INTROSPECTION  (2016) écrit par Thomas Costa et Antonin Mechler, réalisé par antonin Mechler.

Ma formation

En cycle 3 d'art dramatique au Conservatoire de la ville de Mulhouse.

Mes goûts et convictions

Appréciation certaine, du silence, du plan fixe, du film d'ambiance et de suggestion.

La mise en avant de la nature primordiale pour la réalité et la mesure de l'esprit, pour la construction d'un être surtout durant l'enfance, et de par les circonstances écologiques et sociales globales.

Mes genres

Formats

Expérimental & Art vidéo
Film Essai
Inclassables

Type

Unitaire

Genre

Lyrique
Arts & Culture

Mes films et séries favoris

J'apprécie particulièrement le cinéma de Jia Zhang-Ke, notamment son dernier film en date, Ash Is Purest White (Les éternels).

En matière d'acteur encore, Daniel Day-Lewis parvient à concentrer cette attitude grave, presque de crispation entière d'un corps et de surélévation de l'ambiguité et de la présence du personnage. sa performance dans There Will Be Blood me reste notable.

L'animation japonaise me tient aussi à coeur. Cet univers semble pour beaucoup un champ enfantin, mais la double-lecture enfantine et adulte possible dans les films de Hayao Miyazaki est évidente et superbe ; la pureté, la gestion du beau dans la simplicité et dans l'imagination extaordinaire berce et bouscule à chaque visionnage. Je recommande tous ses films, en priorité même par rapport à toute autre oeuvre, car ils permettent une prise de conscience de la beauté à travers la nature et la simplicité, une reconsidération des représentations trop enflées de films dramatiques et à gros budjet exagérant bien souvent ce qui est à l'origine beau dans sa pureté.

Le jeu de Gaspard Ulliel m'intéresse beaucoup ; j'ai fortement aimé Saint Laurent de Bertrand Bonello et Les Confins du Monde de Guillaume Nicloux, deux films français auxquels il a participé, et qui développent tous deux, une ambiance de torpeur portée durant toute la durée du film, démarche que j'affectionne énormément.

Enfin, la série The Young Pope de Paolo Sorrentino est celle qui m'a la plus plu. la concentration sur les idées de pureté, de contradiction, sur l'avancée des personnages et du récit sur un plan principalement idéologique, demeure pour moi l'une des voies les plus importantes à développer dans l'art, mais aussi particulièrement dans notre attitude quotidienne.